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Hausse marquée de l'obésité pendant la pandémie
Sujet:De la science militante à la grossophobie médicale On peut y lire: TORONTO - Un nouveau rapport indique que la prévalence de l'obésité a augmenté plus rapidement pendant la pandémie de COVID-19 qu'au cours des dix années précédentes, en particulier chez les jeunes adultes. L'étude, publiée dans le Journal de l'Association médicale canadienne, a examiné les taux d'obésité sur une période de 15 ans, en se basant sur l'indice de masse corporelle de près de 750 000 personnes de 18 ans ou plus. Les chercheurs affirment avoir constaté une augmentation d'environ 8 % échelonnée sur les 11 premières années de l'étude (2009-2020), comparativement à une augmentation de plus d'un point de pourcentage par an de 2020 à 2023. C'est environ le double du taux d'augmentation prépandémique. Selon Laura Anderson, autrice de l'étude et professeure agrégée à l'Université McMaster, ces résultats laissent croire que les restrictions de santé publique imposées pendant la pandémie de COVID-19 pourraient avoir influé sur les taux d'obésité. La Presse canadienne How Has COVID-19 Changed Obesity Prevalence in Canada? Mon commentaire En partant, à quoi cela sert de faire des statistiques pour mesurer l'augmentation du nombre de personnes en surpoids ? À quoi cela sert à la population de connaître cette information? Cela n'insistera pas les gens à perdre du poids. C'est une information complètement inutile excepté pour ceux qui veulent faire passer un message. Cela fait 32 ans que je m'intéresse au sujet du poids corporel et de la guerre contre l'obésité. Il est très difficile de traiter de ce sujet de manière neutre, que ce soit pour les scientifiques ou les journalistes. Les textes que j'écris sur mon site web sont biaisés de par ma position fat acceptance ou fat admiror. J'aime les femmes rondes, je ne veux pas les faire maigrir. J'ai posé cette question à l'IA Gémini Est-ce qu'il y a des personnes qui font de la science militante ? « Oui, absolument ! La science militante est une réalité et un sujet de discussion important dans le monde scientifique actuel. » Ceux qui luttent contre l'obésité sont biaisés et sont critiqués par ceux qui luttent contre la grossophobie, comme moi. À la base, pour choisir de faire de la recherche sur l'obésité, il faut ne pas aimer les grosses personnes. Face à cette situation, la job du journaliste est d'avoir un esprit critique. J'ai l'impression que quand les journalistes de Radio-Canada parlent du sujet de l'obésité, ils le prennent au premier degré. En d'autres mots, si c'est de la science cela devrait être de la pure vérité indiscutable. L'augmentation du taux d'obésité se mesure comment ? C'est quoi la fiabilité de cette étude statistique ? Un reportage qui aurait répondu à ces deux questions aurait été plus pertinent. Mais les journalistes avec l'obésité font du journalisme militant. Ils considèrent que l'obésité est une maladie tellement grave que pour aider à la cause, il ne faut pas douter de la parole des militants anti-obésité/malbouffe. Cette étude statistique s'est basée sur des sondages et non sur la prise de mesures factuelles sur des individus. Elle n'a aucune fiabilité, elle n'a qu'une valeur symbolique. De plus le poids corporel est une valeur qui varie peu car il est géré par l'hypothalamus. En d'autres mots, cette étude statistique qui conclut à une hausse marquée de l'obésité pendant la pandémie est douteuse. Les journalistes auraient dû chercher à comprendre comment on arrive à de tels résultats et pourquoi des scientifiques s'amusent à faire régulièrement ce type d'étude statistique. Pour moi, c'est pour justifier la guerre contre l'obésité en la dramatisant afin d'obtenir des subventions de recherche. On arrive avec une x-ième étude statistique qui conclut à une augmentation du taux d'obésité. Est-ce que les taux d'augmentations s'additionnent avec le temps ? Il y aurait 400% plus d'obésité aujourd'hui? Suite à la redéfinition de l'obésité parue dans la revue scientifique The Lancet en janvier 2025, il y a l'obésité préclinique et l'obésité clinique. Dans cette étude statistique ont-ils tenu compte qu'il y a des gros en parfaite santé? Y a-t-il plus de gros en santé ou plus de gros avec une maladie? S'ils ont utilisé l'IMC cela manque de crédibilité vu que son utilité est remise en question. Conclusion Une étude statistique complètement inutile et biaisée, qui ne tient pas compte des nouvelles données et opinions sur l'obésité. Cela démontre une fois de plus qu'il existe vraiment une confrérie de fanatiques qui font de la science militante contre les gros. Avec eux, on passe de la science grossophobe à la grossophobie médicale. Commentaire fait par José Breton Complément d'informations: L'histoireL'obésité a gagné du terrain pendant la pandémie Forte augmentation de l'obésité au Canada en raison de la pandémie Les taux d'obésité ont augmenté pendant la pandémie ' Le tiers des Canadiens sont maintenant obèses Les taux d'obésité montent en flèche depuis la pandémie Les cas d'obésité sont en augmentation depuis la pandémie Surpoids et obésité: une hausse importante depuis la pandémie L'obésité est-elle une maladie? Des experts mondiaux s'entendent sur une réponse Indice de masse corporelle : pourquoi cet outil n'est pas si fiable ? Le cerveau décide de notre poids, pas nous Les statistiques mesurant l'augmentation du taux d'obésité Il y a plus d'un milliard d'obèses sur la planète ! Les enfants canadiens plus obèses que jamais Les Canadiens sont de plus en plus gros ! 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