L'animatrice fut madame Françoise Guénette ancienne journaliste de Radio-Canada de la région de la ville de Québec.
Il y a eu trois présentations:
1-Présentation de la charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée fait par Madame Marie-Hélène Soucy agente de recherche du Secrétariat de la condition féminine
2-La problématique des troubles alimentaires et les conséquences que cela engendre sur les femmes par Monsieur Howard Steiger, chef du programme des troubles de l'alimentation de l'institut universitaire Douglas
3-La sexualisation des jeunes femmes ainsi que des enjeux et conséquences qui en découlent Madame Lilia Goldfarb, cheffe de service de leadership du Y des femmes de Montréal
J'ai fait 2 commentaires
1-Après la présentation de la charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée, j'ai dit:
«J'aurais aimé être invité pour faire partie du comité qui a élaboré cette charte, je vais utiliser l'occasion pour exprimer ma position. Il faut considérer les préférences sexuelles, on ne peut demander à ceux qui préfèrent les minces d'intégrer les rondes dans leurs productions. Elles ne seraient pas traitées à égalité avec les autres. Il faut séparer le monde en deux. Il faut subvention ceux qui préfèrent les minces et ceux qui préfèrent les rondes»
Charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifié
2-Après la présentation sur l'hyper-sexualisation, j'ai dit:
«Il ne faut pas aucune image sexuelle de la femme dans les médias. Mais, il faut que ça soit les femmes qui décident de l'image sexuelle qu'elles veulent présenter dans les médias. Actuellement l'image sexuelle idéalisée de la femme est celle du standards de la pornographie. La femme sexy est celle qui a l'allure d'une fillette de 12 ans. On comprend pourquoi les fillettes de 12 ans se sexualisent, elles correspondent au modèle. Si l'image sexuelle de la femme idéale serait la femme ronde (mature) les fillettes de 12 réaliseraient qu'elles ont des croutes à manger avant de pouvoir jouer ce rôle.»
L'attitude de l'animatrice, madame Françoise Guénette, envers moi fut très condescendante dans le ton de sa voix. «Vazi dis ce que tu as dire et dépêche toi.» À ma deuxième intervention «on t'a déjà entendu parler», il a fallu que j'insiste pour dire que j'allais faire un commentaire très différent.
Elle m'a fait sentir subtilement que je n'étais pas le bienvenue. Qu'est-ce qui explique cette attitude de mépris envers moi ?
Il y a eu une femme qui a fait un commentaire en disant qu'il faut tenir compte des hommes, l'animatrice madame Françoise Guénette l'a ridiculisé en prétendant qu'elle allait redire ce que j'avais dit. Ce qui donne l'impression que cette représentante des féministe extrémistes (radicales) du Québec, ne veut rien savoir des hommes. En d'autres mots, elles se complaisent dans leur rôle de victime des hommes.
Je crois que ce sont les groupes de femmes qui adhérent au discours féminisme radicale qui font du lobby envers le gouvernement. Je prétends même que le secrétariat de la condition féminine en est devenu leur siège social. En d'autres mots, elles utilisent le pouvoir de l'état québécois pour imposer leurs opinions.
Elles imposent leurs opinions et leurs valeurs par la dictature en prétendant qu'elles font consensus ou l'unanimité. Pour ces féministes le consensus, c'est un objectif important à atteindre. Comme pour elles leur féminisme est un humanisme, c'est comme dire que Dieu est parfait, elles se refusent à toutes critiques. Elles seules possèdent l'unique vérité.
Être mal à l'aise avec la diversité d'opinions ou ne pas respecter les gens qui pensent différemment de soi constitue un comportement anti-social.
Avec ce qu'elles espèrent avec la charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée démontre bien leur attitude nombrilisme et refermer sur elles-même. Le monde n'existerait pas sens elles.
Les féministes radicales se donnent des objectifs idéalistes, irréalistes et inutiles (les trois iii).
Elles espèrent qu'un jour tous les gens et les responsables de médias seront d'accord avec la charte et y adhéreront complètement. Les producteurs de télévision passeront un jour par-dessus leur aversion envers les femmes rondes. Ronde ou mince ne fera plus de différence peur eux. Elles cherchent à atteindre l'unanimité sociale pour leur position. Penser faire l'unanimité sur ce sujet, c'est irréaliste. Mélanger rondes et minces, ça ne marchera jamais.
Ce qui est sain et intelligent, c'est de proposer différentes opinions pour laisser choisir les gens. L'état devrait faire le ménage du secrétariat de la condition féminine, pour qu'il tienne compte de la diversité d'opinion qui existe chez les femmes du Québec.
J'ai obtenu une information qui me fait conclure que les féministes radicales, hors de doute possible, sont corrompues. Elles s'agglutinent autour des pôles de pouvoir sans tenir compte des aspects moraux. Le pouvoir à tout prix.
Une femme est venue poser une question pertinentes «les recommandations des médecins et des nutritionnistes pour faire de l'exercice et faire attention à ce qu'on mange contribue-t-il à l'obsession de la minceur?» la représentante secrétariat de la condition féminine, Madame Marie-Hélène Soucy, a répondu qu'elles ont appuyé la mission de la fondation pour la promotion de saines habitudes vie. Le secrétariat de la condition féminine va collaborer à réduire la prétendue épidémie d'obésité. Wow! Quelle incohérence!
Les féministes radicales, ici, viennent de s'aliéner. En effet, moi j'ai dénoncé depuis le début la création de cette fondation parce qu'elle origine de l'industrie pharmaceutique et de l'amaigrissent qui finance la recherche sur l'obésité pour mettre de la pression sur les femmes pour qu'elles se décident à dépenser de l'argent dans une méthode pour perdre de poids.
La lutte anti-obésité est une stratégie pour maintenir les femmes dans l'obsession de la minceur. Cela constitue une forme d'oppression que les femmes subissent. Comment des femmes qui sont préoccupées par l'amélioration de la condition féminine peuvent-elles accepter d'être opprimer par l'objectif poids santé?
On comprend pourquoi elles sont contre le mouvement fat acceptance et les femmes rondes. Tu ne peux pas t'acoquiner avec les extrémistes anti-obésité/malbouffe et en même temps te préoccuper du bien être des femmes rondes.
La charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifié ne tient pas compte du vécue distinct des femmes rondes. Les femmes rondes sont victimes de mépris et on ne dénonce pas cette situation dans les médias traditionnels comme on le fait avec l'homophobie.
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