Les chirurgiens de l'IUCPQ veulent en faire plus... mais les budgets ne sont pas là ![]()
Sujet:Ressentir le besoin d'opérer s'oppose au besoin de subir l'opération On peut y lire: Les spécialistes en chirurgie bariatrique dénoncent le manque de budget pour réduire les listes d'attente Des chirurgiens de l'IUCPQ dénoncent que les budgets ne soient pas disponibles en vue d'utiliser un bloc opératoire au privé une journée de plus par semaine, afin de désengorger les listes d'attente en chirurgie bariatrique. Depuis 2021, des chirurgiens spécialistes de l'Institut universitaire de cardiologie et pneumologie de Québec - Université Laval (IUCPQ) utilisent, à raison de deux jours par semaine, un bloc opératoire au privé d'Opéra MD pour pratiquer des chirurgies qui sont payées par le régime public, selon une entente de partenariat. En 2024-2025, les deux journées de chirurgie bariatrique hebdomadaires représentent une enveloppe budgétaire annuelle de 2 186 047$. On y pratique des chirurgies bariatriques sans hospitalisation, mais aussi des cas de chirurgies générales. «Ça désengorge énormément l'Institut et le bloc opératoire pour les cas plus complexes qu'on opère», affirme la Dre Annie Lafortune, chirurgienne à l'IUCPQ qui fait partie d'une équipe de neuf chirurgiens bariatriques prêts à en faire plus. «Avec le temps, on a progressé, on est rendu à deux salles par semaine [à] Opéra MD, en plus de nos sept salles opératoires [à l'IUCPQ], hors période estivale.» Attente de deux ans Toutefois, l'attente pour recevoir une chirurgie bariatrique est de deux ans, dit-elle. «Le processus est extrêmement long. Nos listes d'attente s'allongeant, on a voulu prolonger à trois jours par semaine là-bas.» Selon elle, l'ouverture d'une troisième journée pourrait se réaliser à un coût «qui n'est pas très élevé», même si aucun chiffre n'a été dévoilé. «On trouve ça très fâchant. Tout le monde est d'accord, à part pour le budget. On ne veut pas couper les soins aux patients et en même temps, on n'offre pas un bon service. On est disponible pour opérer plus. Toutes les planètes sont alignées sauf les enveloppes budgétaires de Santé Québec», poursuit la Dre Lafortune. Avec une journée additionnelle, on estime qu'il serait possible de réaliser 140 chirurgies bariatriques de plus par année, dans ce bloc opératoire privé. Réactions «Pour 2025-2026, les modalités d'octroi du budget sont réalisées à partir d'une enveloppe financière fermée. Ceci implique que l'établissement doit effectuer le même volume d'activité chirurgicale que l'exercice financier précédent», a répondu par courriel Josée Morissette, porte-parole de l'IUCPQ. Mon commentaire Il y a une différence entre le besoin de se faire sectionner l'estomac et le besoin d'exécuter des chirurgies bariatriques. Pourquoi plus de budget ? Pour faire plus de chirurgie bariatrique pour satisfaire le besoin des chirurgiens d'en faire plus ou parce que cela constitue un besoin des femmes de se faire sectionner l'estomac ? Comme la majorité des chirurgies bariatriques sont exécutées sur des femmes, cela signifie que la question esthétique joue un grand rôle dans la prise de décision de perdre du poids. Demander plus de budget pour tirer profit des femmes qui sont complexées par leur corps. C'est NON! Il y a des femmes qui sont tellement mal dans leur peau qu'elles sont prêtes à tout pour devenir enfin mince un jour. Ainsi, en état de souffrance, elles perdent leur capacité d'avoir un esprit critique. Elle ne voit plus clair elles veulent absolument maigrir. Demander plus de budget pour convaincre les femmes de subir l'opération en misant sur leur vulnérabilité. C'est NON! Le problème, c'est que la chirurgie bariatrique est une méthode d'amaigrissement qui est vendue par des médecins. La parole d'un médecin a plus de poids que toute autre personne qui fait la promotion de toute autre méthode d'amaigrissement. Si c'est un médecin qui propose cela, cela devrait être la meilleure méthode. Pas besoin de s'informer plus, pas besoin de lire les critiques et de s'informer sur les complications afin de prendre toute la mesure des conséquences de cette mutilation physique. Les médecins qui proposent l'ablation de l'estomac le font par militantisme. C'est de la médecine militante. Les mutilateurs d'estomac considèrent l'obésité comme la pire maladie qui soit et que l'épidémie d'obésité est le pire fléau qui soit. Brocher des estomacs constitue leur effort pour contrer ce désastre. Demander plus de budget pour prétendre contribuer à l'éradication de l'Épidémie d'obésité. C'est NON! Si ces médecins avaient le moindre peu d'empathie, ils ne proposeraient pas ce type d'opération. Demander plus de budget pour une médecine expérimentale à la Frankenstein. C'est NON! On ne donne pas de l'argent à des médecins qui n'ont jamais demandé un registre bariatrique pour démontrer son innocuité et sa réelle efficacité. Demander plus de budget sans démontrer que la chirurgie bariatrique est sans problème. C'est NON! Demander plus de budget sans connaître les conséquences à long terme. C'est NON! On ne donne pas de l'argent à des médecins qui n'ont jamais fait une étude sur le degré de satisfaction de leurs brochés de l'estomac. Le gouvernement ne devrait pas donner de l'argent à des médecins présomptueux et vaniteux qui se sentent plus forts que Dieu. Le ministère de la santé et des services sociaux devrait immédiatement déclarer un moratoire pour que cesse la pratique de la chirurgie bariatrique afin de faire une enquête approfondie. Commentaire fait par José Breton Complément d'informations: L'histoireLes chirurgiens de l'IUCPQ veulent en faire plus... mais les budgets ne sont pas là Les chirurgiens de l'IUCPQ veulent en faire plus... mais les budgets ne sont pas là Plaidoirie pour l'accès l'information au sujet de la chirurgie bariatrique La chirurgie bariatrique et le biais d'autorité Nathalie Simard s'ouvre sur sa perte de poids dans ce nouveau documentaire Maryse Deraîche s'est suicidée; sa soeur livre un témoignage touchant COVID et OBÉSITÉ : La chirurgie bariatrique efface le supplément de risque
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