Lutte contre l'obésité : l'ingérence de l'État est indue et inefficace
L'Institut Fraser le 26 avril 2014

Obésité et mortalité: un paradoxe de poids
Journal le Soleil le 3 mai 2014


Lutte contre l'obésité : l'ingérence de l'État est indue et inefficace

Malgré les affirmations de certains politiciens, médias et partisans de la santé publique, il n'y a pas, au Canada, d'épidémie d'obésité causant un grand nombre de maladies et de décès.

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Sujet: Je ne suis pas le seul à penser ce que je pense

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Même s'il y avait une « épidémie d'obésité » au Canada, ce qui n'est pas le cas, les mesures du gouvernement visant les Canadiens en surpoids sont coûteuses, mal dirigées et probablement inefficaces. C'est la conclusion d'une nouvelle étude publiée aujourd'hui par l'Institut Fraser, un organisme canadien de recherche en politiques publiques indépendant et non partisan.

« Malgré les affirmations de certains politiciens, médias et partisans de la santé publique, il n'y a pas, au Canada, d'épidémie d'obésité causant un grand nombre de maladies et de décès. Par ailleurs, il est faux de prétendre que seul le gouvernement peut nous sauver de nous-mêmes », soutient Nadeem Esmail, directeur de la recherche sur les politiques de santé de l'Institut Fraser et auteur de l'étude intitulée Obesity in Canada:

Overstated Problems, Misguided Policy Solutions.

L'étude, qui distingue l'obésité du surpoids, traite principalement de trois thèmes : les taux d'obésité au Canada, le rapport entre l'obésité ou le surpoids et la mauvaise santé ainsi que le décès prématuré, et les mesures prises par le gouvernement. L'analyse et les comparaisons présentées sont fondées sur des données canadiennes, américaines et britanniques.

Taux de surpoids canadien

Selon l'étude, le taux de surpoids de la population canadienne a été stable de 2003 à 2012. Et si le taux d'obésité est passé de 15,3 à 18,4 %, il est également stable depuis 2009. En fait, le taux d'obésité pourrait être en baisse chez les hommes, même s'il continue d'augmenter chez les femmes. Les taux de surpoids et d'obésité des jeunes de 12 à 17 ans sont stables depuis 2005.

« Les données disponibles ne corroborant pas les allégations selon lesquelles il y aurait une épidémie d'obésité, les décideurs politiques canadiens devraient faire preuve de prudence en ce qui concerne les propositions de politiques, et éviter une intervention énergique », fait valoir M. Esmail.

Conséquences publiques (et privées) de l'embonpoint

Il y a manifestement un lien entre l'obésité et les décès prématurés, mais l'étude constate que les personnes légèrement obèses (selon l'indice de masse corporelle ou IMC, qui est fondé sur le rapport du poids à la taille) ne présentent pas nécessairement plus de risques que les personnes de poids « normal ». En fait, selon un certain nombre d'études, le taux de mortalité des personnes en surpoids (mais non obèses), toutes causes confondues, pourrait bien être plus faible que celui des personnes de poids normal, et nettement plus faible que celui des personnes de poids insuffisant.

« Lorsqu'on tient compte des répercussions du poids allant de l'insuffisance pondérale jusqu'à l'obésité sur la santé, des progrès constants de la médecine, et de l'ensemble des coûts économiques et conséquences de l'obésité, on constate que le fardeau imposé par l'obésité au système canadien de soins de santé pourrait être largement surestimé », explique M. Esmail.

Le gouvernement peut-il réduire l'obésité?

La plupart du temps, les mesures publiques de lutte contre l'obésité et le surpoids visent les entreprises privées et les particuliers. Elles comprennent notamment la hausse des taxes sur les aliments sucrés et gras, l'interdiction de certains aliments et de distributeurs automatiques, ainsi que l'obligation de l'étiquetage nutritionnel en magasin et au restaurant.

Toutefois, ces politiques négligent souvent les causes complexes du surpoids et de l'obésité, y compris les facteurs physiologiques, psychologiques et socioéconomiques comme la culture, la vie et la structure familiale, le patrimoine génétique, et le niveau de revenu. Elles imposent aussi des coûts à l'ensemble des Canadiens, peu importe le mode de vie de chacun, et, surtout, elles ne tiennent aucunement compte du fardeau imposé aux contribuables, aux entreprises privées et à l'économie en général.

Beaucoup de ces politiques participent ainsi au gonflement de la fonction publique (par exemple, par la création d'un organisme qui détermine les aliments et boissons à taxer ou à interdire). Nombre d'entre elles freinent la croissance des petites entreprises et augmentent les coûts, qui sont probablement répercutés sur les consommateurs.

« Les interventions des gouvernements imposent des coûts sans discernement, et diabolisent à tort certains aliments, fabricants et distributeurs de produits alimentaires. Si ces mesures ne réussissent pas à réduire les tours de taille au Canada, leurs partisans feront sans doute valoir qu'elles n'étaient pas assez fortes ou interventionnistes. En réalité, cependant, l'État peut difficilement modifier les comportements qui causent le surpoids et l'obésité, et ses interventions ne sont pas aussi efficaces que certains le prétendent », conclut M. Esmail.

Senior Fellow, Fraser Institute

Mon commentaire

Ce n'est pas seulement moi qui critique la guerre contre l'obésité. Je commente cela depuis 1998. J'ai fait des plaintes contre la politique éditoriale du service des nouvelles Radio-Canada parce qu'ils relayaient le message, aux mots à mots, des fanatiques anti-obésité.

Pour les journalistes, la situation de l'obésité est tellement grave; au diable le sens critique et pas question de mettre les pour et les contre dans la balance. La guerre contre l'obésité est une vérité divine indiscutable.

L'ombudsman de Radio-Canada me répondait toujours qu'il y avait un consensus sur ce sujet. En d'autres mots, Radio-Canada faisait de l'information militante. Ce qui est inacceptable.

Commentaire écrit par José Breton

Plainte contre l'ombudsman de radio-canada Pierre Tourangeau

Le scan de l'article «Obesity an overblown epedemic?»

Québec entreprend sa lutte contre l'obésité


Obésité et mortalité: un paradoxe de poids

Le phénomène est connu dans les milieux médicaux sous le nom de «paradoxe de l'obésité» et a fait couler pas mal d'encre ces dernières années dans les revues savantes.

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Sujet: Le biais anti-obésité ou grossophobe

On peut y lire:

Jean-François Cliche

Le phénomène est connu dans les milieux médicaux sous le nom de «paradoxe de l'obésité» et a fait couler pas mal d'encre ces dernières années dans les revues savantes. Car malgré tous les effets néfastes et prouvés que le surpoids peut avoir, notamment sur les artères (voir le tableau), plusieurs études récentes montrent que la mortalité reste obstinément plus basse chez les gens qui font de l'embonpoint que chez ceux qui ont leur «poids santé». Par seulement quelques pourcent, mais quand même: avec tout ce qu'on entend sur le surpoids, cela reste étonnant, et bien des chercheurs tentent de comprendre.

Cette semaine, l'Institut Fraser a ramené cette question dans l'actualité en prétendant que l'État devrait cesser ses campagnes contre l'obésité sous prétexte, entre autres, que celle-ci ne serait pas aussi dangereuse qu'on le prétend. Le document a été très sévèrement critiqué par plusieurs experts, et à raison, mais le fait est que ce paradoxe existe bel et bien.

L'an dernier, en effet, une chercheuse du Center for Disease Control, aux États-Unis, Katherine M. Flegal, a publié dans le Journal of the American Medical Association une revue d'une centaine d'études sur le sujet, regroupant un énorme échantillon de 2,9 millions de personnes. Parmi elles, celles qui faisaient de l'embonpoint avaient un taux de mortalité 6 % en dessous de celui des gens ayant un poids santé. Et si l'obésité sévère ou morbide haussait bel et bien les décès de près du tiers, l'obésité légère, elle, ne conduisait pas à la morgue plus souvent que le poids santé.

Voilà qui, à vue de nez, semble contredire de plein fouet tout ce qu'on nous dit sur le surpoids, de même que les montagnes d'études qui ont démontré les nombreux méfaits de l'obésité (voir le tableau «Plus de maladies, moins de morts?»). Comment la graisse pourrait-elle à la fois rendre malade et avoir un effet protecteur?

La question est encore débattue dans les milieux médicaux, mais à bien y regarder, les deux propositions ne sont peut-être pas si difficiles à concilier qu'il n'y paraît, disent deux experts consultés par Le Soleil. «Je suis tout à fait d'accord avec cette idée-là (que le gras peut jouer un rôle protecteur). Par exemple, chez les populations gériatriques, l'embonpoint est souvent associé à une masse musculaire plus grande, donc à une meilleure forme physique. Et puis, la graisse n'existe pas pour rien, elle a une fonction, c'est une réserve d'énergie», dit Jean-Pierre Després, spécialiste de l'obésité et du métabolisme de l'Université Laval.

«Il ne faut pas oublier, renchérit son collègue de l'Université de Sherbrooke Martin Brochu, que le tissu adipeux n'est pas mauvais en lui-même, c'est en avoir trop qui l'est. [...] Quand on lit ce qui s'est écrit sur le paradoxe de l'obésité, on voit que [les gens qui bénéficient d'un surpoids modéré] ont souvent des conditions médicales assez sévères, comme de l'insuffisance rénale ou cardiaque.» Des problèmes de santé comme ceux-là nécessitent souvent des interventions chirurgicales ou d'autres interventions assez lourdes - et les individus qui ont d'assez bonnes réserves, donc un IMC relativement élevé, y survivent mieux que ceux qui sont affaiblis et rachitiques.

Dans une étude publiée en 2010, d'ailleurs, deux chercheurs américains ont séparé les courbes de mortalité et d'IMC par tranches d'âge, et ont trouvé que l'embonpoint n'a absolument aucun avantage pour les plus jeunes. Dans la vingtaine et la trentaine, la mortalité est à son plus bas à des IMC tournant autour de 20. Mais plus on vieillit, plus cet «IMC idéal» augmente, si bien que passé 60 ans, les décès sont moins fréquents autour de 27 ou 28 d'IMC - comme si faire un peu d'embonpoint «conservait», pour ainsi dire.

Parmi les autres explications qui ont été avancées pour dénouer ce paradoxe, on trouve le fait que la maladie a souvent pour effet d'amaigrir les patients, ce qui inverse la causalité et augmente plus ou moins artificiellement la mortalité chez les plus légers. Il est également possible que les médecins soient plus vigilants lorsqu'ils ont des personnes obèses ou que celles-ci, se sachant à risque, consultent plus fréquemment.

Cela dit, nuance M. Brochu, «il y a de plus en plus d'études qui montrent depuis quelques années que même pour les personnes âgées, ce n'est pas bon d'être obèse. Passé 30 à 32 d'IMC, ça vient avec une perte de motricité et de la capacité fonctionnelle, qui sont des gros déterminants de leur qualité de vie».

L'IMC trop grossier

Sans avoir complètement tort, donc, l'Institut Fraser n'avait certainement pas tout à fait raison d'invoquer ce paradoxe pour demander l'arrêt des campagnes anti-obésité. Mais quoi qu'il en soit, toute cette histoire fait clairement ressortir une chose: l'IMC est un indicateur très grossier.

«Ça peut induire beaucoup de confusion quand on parle de l'obésité au singulier et qu'on la définit uniquement sur la base [de l'IMC]. C'est un peu ma croisade depuis 25 ans, parce que c'est sûr que si on dit aux gens de faire attention seulement à l'IMC, on se retrouve après avec des statistiques qu'on a de la misère à expliquer», dit M. Després.

Des études ont amplement démontré, poursuit-il, que «le tour de taille peut faire une différence spectaculaire sur la mortalité». Spectaculaire au point d'accroître les décès pouvant atteindre 50 % à 60 % au sein d'un même groupe d'IMC. Et le tour de taille ne serait pas en lui-même la source des problèmes, mais plutôt un indicateur: un ventre proéminent est souvent le signe que des dépôts de graisse se logent, pour diverses raisons, autour de l'intestin, du coeur et du foie, où ils sont particulièrement dommageables. Par exemple, le gras autour du foie a tendance à percoler dans le sang, où il risque de boucher les artères. En outre, «le foie, quand il devient gras, son métabolisme est perturbé, il se met à sécréter du sucre dans le sang, ce qui cause le diabète de type 2.

L'activité physique fait elle aussi une différence énorme. «À IMC égal, et même à tour de taille égal, la fréquence de plusieurs problèmes de santé comme les maladies cardiaques, le diabète et certains cancers varie du simple au double. Alors ça commence à faire pas mal de facteurs qui, pour un même IMC, peuvent vous faire passer dans des catégories de risque très élevé ou, au contraire, très faible.»

Heureusement, l'habitude de mesurer le tour de taille fait de plus en plus partie des pratiques, dit M. Després. «Mais je ne comprends pas qu'en 2014, le facteur de risque le plus important [l'inactivité physique] ne soit pas systématiquement mesuré», lance-t-il.

Autres sources:

JAMES R. CARHAN et autres. «A Pooled Analysis of Waist Circumference and Mortality in 650,000 Adults», Mayo Clinic Proceedings, 2014. http://bit.ly/RcCOhM

KATHERINE FLEGAL et autres. «Association of All-Cause Mortality With Overweight and Obesity Using Standard Body Mass Index Categories», JAMA, 2013. http://bit.ly/1l60HAN

JEAN-PIERRE DESPRÉS. «Body Fat Distribution and Risk of Cardiovascular Disease: An Update», Circulation, 2012. http://bit.ly/1nbzAWV

DOUGLAS K. CHILDERS et DAVID B. ALLISON. «The 'Obesity Paradox': A Parsimonious Explanation for Relations Among Obesity, Mortality Rate, and Aging?», International Journal of Obesity, 2010. http://1.usa.gov/1i7kInc


Mon commentaire

Les gens qui n'aiment pas les femmes grosses ont tendance à les pathologiser. Ils les voient malades et les attaques avec des arguments sur la santé. Exemples: les influenceuses du fat acceptance ou du body positive qui se font accuser de faire la promotion de l'obésité.

La pire décennie pour les gros fut 2000-2010. Un groupe de pression anti-obésité, s'est constitué. L'obésité est devenue dès lors la pire menace qui soit. Le gouvernement leur a accordé des subventions de recherches. Les médias étaient submergés par des communiqués de presse hyper-dramatisant sur l'obésité. La fin du monde est proche si on ne fait rien disaient-ils.

Cela a eu comme conséquence la montée de la grossophobie médicale et la justification d'une utilisation plus grande de la chirurgie bariatrique. Les médecins ont commencé à surveiller plus systématiquement le poids de leurs patients, et de recommander banalement la chirurgie bariatrique au moindre ventre rebondi.

Les journalistes ne reconnaissent pas encore aujourd'hui l'existence d'une confrérie d'extrémistes anti-obésité qui font pression pour faire mettre une taxe sur les boissons sucrées, qui répètent souvent que l'obésité continue d'augmenter et qui affirment que celle-ci est responsable de toutes les maladies sans exception.

La pression exercée par la grossophobie médicale a poussé des personnes à devenir militantes contre la grossophobie. Un terme qui est entré dans le dictionnaire Robert en 2018.

Depuis qu'il y a des militants contre la grossophobie les médias et les journalistes écoutent moins les fanatiques anti-obésité. La lutte contre la grossophobie dérange. Les médecins, qui sont grossophobes et militants anti-obésité, ont plus de crédibilité de par leur profession que les simples citoyens qui dénoncent la grossophobie.

Pour contrecarrer ce phénomène, il faudrait une association de médecins, amis des gros, qui n'embarquent pas dans la guerre contre l'obésité, pour soutenir publiquement l'idée que l'on peut être gros et en santé.

Il faudrait qu'il se fasse plus de recherches scientifiques par des gens qui aiment les femmes et les rondeurs féminines. Au lieu d'essayer de démontrer que l'obésité est néfaste pour la santé, ils essaieraient de démontrer que c'est bon pour la santé d'avoir des rondeurs.

Le délire anti-obésité a fait ressortir publiquement le phénomène de la grossophobie qui existe depuis longtemps. Il y a de moins en moins de femmes qui se laissent insulter à propos de leur poids sans réagir. Enfin, le body positive prend de plus en plus d'ampleur.

Conclusion: on peut être gros et en santé, un message qu'on devrait entendre plus souvent dans les médias.

Commentaire écrit par José Breton

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